Labo – Sony Xperia Pro-I : derrière le marketing, la réalité contrastée

Labo – Sony Xperia Pro-I : derrière le marketing, la réalité contrastée

1800€ pour un capteur « professionnel » de 1" (donc un capteur de compact qui bruite à 400iso), mais en réalité un capteur de 0.6".

Les professionnels (et autres amateurs de photos) ne sont pas près de lâcher leurs hybrides ou reflex, avec leurs capteurs aps-c voire full frame.

A titre perso, j’y vois une enflure marketing de premier ordre, seul le fait d’avoir des images un peu moins bidouillées numériquement est un point positif.Évidemment, il faudrait pouvoir sortir et comparer ces photos en raw, autrement dit, en brut de capteur, sans post-traitement imposé.

Et idem sur les pompeux logos type Leica, Zeiss et compagnie, qui ne veulent absolument pas dire que la formule optique a été bossée par les marques en question. Je suis toujours surpris que ces pratiquent existent toujours alors que question image, c’est quand même pas glorieux.

Labo – Sony Xperia Pro-I : derrière le marketing, la réalité contrastée

Très franchement, j’en doute. Il y a des hybrides qui font un taf autrement meilleur que n’importe quel smartphone, avec en plus un prix moindre, tout en gardant la possibilité du choix de l’optique.Et bien voir également qu’un vlogger (qui cherche à faire un taf un minimum qualitatif) va également avoir un bon micro, ect. Le qualitatif aujourd’hui (son et image), ce n’est plus un luxe, c’est une nécessité, car le public s’est habitué à certains standards.

Donc - de mon point de vue - sauf si c’est pour Jean-Kevin, 14 ans, qui veut présenter ses figures collector de bidule ou de machin, acheter un smartphone (surtout à ce prix) pour faire de l’image, c’est un non sens total.

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